Courtepointe de vitraux – Catherine de Saint-Augustin, hospitalière en Nouvelle-France

$20.00

(13 avis client)

Onze nouvelles s’entrecroisent, dessinent les vitraux d’une courtepointe. Catherine de Saint-Augustin les relie les unes aux autres.

Joies, deuils, tentations, dépassement… Des émotions à fleur de peau, des personnages courageux, une hospitalière que l’on chérit et respecte. De 1648 à 1668 à l’Hôtel-Dieu de Québec, Catherine de Saint-Augustin a soigné des malades, nourri des réfugiés, ri avec des enfants, rédigé des lettres, ou conduit des êtres chers à leur dernier repos.
Venez à sa rencontre en compagnie des Marie Rollet, Louise Giffard, Barbe d’Ailleboust, Marie Paradis, Jeanne Bitouzet et tant d’autres.

UGS : BK100859-00 Catégorie :

Véronique Morel voit le jour en octobre 1948 à Saint-Boniface-de-Shawinigan. Elle participe à de nombreux projets collectifs : je plume et tu pinceaux…, Nouvelles de Gatineau ou encore Anthologie 2013 des écrivains francophones d’Amérique, sans oublier Virages. Elle y trouve des jardins accueillants où ses fantaisies peuvent éclore.
En 2015, elle crée son blogue littéraire Véronique Morel – nouvellière et dentellière de mots. Courtepointe de vitraux – Catherine de Saint-Augustin, hospitalière en Nouvelle-France est sa première publication individuelle.

veroniquemorelauteuredepetitsriens.wordpress.com

Informations complémentaires

Poids 0.26 kg
Dimensions 4.25 × 7 × 0.59 pouce
ISBN

9782981701206

Auteur, Autrice

Véronique Morel

Nombre de pages

220

Date de publication

2017-10

13 avis pour Courtepointe de vitraux – Catherine de Saint-Augustin, hospitalière en Nouvelle-France

  1. Lafoluci (client confirmé)

    Première de couverture bellissime, remarquable!
    Il y a beaucoup de mouvement et de grâce dans le vitrail où m’apparaissent coquillages et hippocampes, animaux mythiques qui tiraient le char de Neptune, le dieu des Eaux vives et des Sources! Quel beau symbole!
    L’eau, substance mythologique, est à la source de l’imaginaire et des rêves, mais aussi des rituels religieux ex: le baptême!
    Je suis impatiente de connaître Catherine et de m’envelopper avec elle dans cette irrésistible courtepointe. Il me tarde de me laisser émouvoir par la lumière de ses vitraux.

  2. Lafoluci (client confirmé)

    Première de couverture bellissime, remarquable!
    Il y a beaucoup de mouvement et de grâce dans le vitrail où m’apparaissent coquillages et hippocampes, animaux mythiques qui tiraient le char de Neptune, le dieu des Eaux vives et des Sources! Quel beau symbole!
    L’eau, substance mythologique, est à la source de l’imaginaire et des rêves, mais aussi des rituels religieux ex: le baptême!
    Je suis impatiente de connaître Catherine et de m’envelopper avec elle dans cette irrésistible courtepointe. Il me tarde de me laisser émouvoir par la lumière de ses vitraux.

  3. Madeleine B. (client confirmé)

    J’ai beaucoup apprécié le respect du style d’écriture propre au 17e siècle, le côté historique est bien documenté pour nous faire connaître une facette de la vie en Nouvelle-France. Véronique a énormément travaillé!
    Et j’ai aimé le  »clin d’oeil » à son ancêtre dont elle est  »issue ».

  4. Madeleine B. (client confirmé)

    J’ai beaucoup apprécié le respect du style d’écriture propre au 17e siècle, le côté historique est bien documenté pour nous faire connaître une facette de la vie en Nouvelle-France. Véronique a énormément travaillé!
    Et j’ai aimé le  »clin d’oeil » à son ancêtre dont elle est  »issue ».

  5. Louise Condrain (client confirmé)

    J’ai terminé cette semaine la lecture du premier livre solo de ma belle-sœur et grande amie Véronique Morel. J’ai passé de très beaux moments en compagnie de Catherine de Saint-Augustin, Marie Rollet(mon ancêtre), Louise Giffard et plusieurs autres, toutes des femmes de cœur qui ont vécues au début de la Nouvelle-France. Merci Véronique, tu as une plume formidable et j’espère que tu nous gâteras encore de ton grand talent d’écriture. Bonne lecture!!!

  6. Fabienne M. (client confirmé)

    J’ai voyagé dans le temps en lisant la courtepointe de vitraux. Les mots choisis, les descriptions, les coutumes, les expressions, tout me permettait de voyager au temps de la Nouvelle France! Je me suis attachée aux différents personnages. Sans aucun doute, Véronique a fait beaucoup de recherches historiques. Son style d’écriture est à son image, tellement que c’est elle que j’entendais lors de ma lecture des vitraux! Un livre à savourer, un plaisir à partager.
    Je vous le recommande sans hésiter.

  7. Louise Ducas (client confirmé)

    Je n’ai que 30 pages de lues mais QUEL PLAISIR !!! Tu es LA dentellière des mots. Que c’est agréable de lire tes mots, tout coule doucement, harmonieusement. Je n’ai pas tous les mots pour bien décrire le plaisir que j’ai à te lire. On visualise très bien tes personnages, le contexte, le décor. Que c’est merveilleux. Une seule chose, je ne veux pas fermer le livre même si mes yeux se ferment malgré moi car je lis au lit lorsque je me couche pour la nuit. C’est mon moment de lecture. Habituellement ce sont des revues que je lis, des revues d’information régionale, internationale, de boulangerie, de mécanique, etc. Mais là, je me répète quel plaisir de te lire.

  8. Etienne Morel (client confirmé)

    Chère Véronique,

    J’ai terminé hier soir ton beau livre.

    Quel grand talent tu as avec ta plume magique. Je te lève mon chapeau et je te lève mon verre. Bravo!

    Ton beau livre m’a baigné dans l’ambiance qui régnait au début de la Nouvelle-France. Et que dire de ton si beau portrait de Catherine de St-Augustin. Tu as bien representé sa grandeur d’âme, ses combats humains et l’immense influence qu’elle a eu au début de la colonie.

    Merci pour ton beau don de ce livre qui nous fait retourner à nos sources et qui nous fait apprécier le courage des pionniers de la Nouvelle-France.

    Etienne

  9. Monique Michaud (client confirmé)

    Ce recueil historique est bien écrit, une rareté de nos jours; l’auteure est une dentellière des mots qui possède un riche vocabulaire. Cet ouvrage a un côté littéraire qui a su me plaire : elle a imaginé d’écrire la vie de cette religieuse par petite touche, en y intégrant d’autres figures importantes du temps des débuts de la colonie. Par exemple, Marie Rollet, la femme de Louis Hébert, le premier colon aussi apothicaire. Robert Giffard, aussi le seigneur de Lauzon et son épouse. C’est incarné, tous nos sens sont sollicités, l’auteure nous plonge jusqu’au cou dans l’expérience de leur existence. C’est un livre qui se déguste lentement, par petites bouchées. Pour ma part, j’aime relire deux fois chaque chapitre pour mieux en apprécier tous les détails.

  10. Louise B. (client confirmé)

    J’ai dévoré ce livre écrit avec beaucoup de coeurt qui nous plonge au coeur des années 1648 dans la vie de Soeur Catherine de Saint-Augustin, hospitalière en Nouvelle-France, ainsi que 11 nouvellles qui nous font partager la vie courageuse de ces femmes et hommes de cette génération. Un travail de recherches et de minutie dans les détails de la vie quotidienne ont été nécessaires pour mener à bon port ce magnifique livre, 11 nouvelles plus fascinantes les unes que les autres. Des personnages attachants et plein de rebondissements dans leur vie. Vous devez absolument vous procurer ce livre qui vous fera un grand bien et vous pourrez répandre la bonne nouvelle pour un prochain cadeau de Noel.

  11. Lise Dugas (client confirmé)

    Ce livre m’a plongée dans les souvenirs : à l’école, les professeures, religieuses et laïques, nous enseignaient l’histoire du Canada. Ma famille comptait trois religieuses dont j’étais la nièce.
    La Nouvelle-France, les colons, la noblesse, les enfants, la religion, les hiérarchies, la diversité des êtres : la vie qui triomphe, trébuche, s’enfonce, s’anime, s’enflamme … tout y fourmille avec ferveur. Tout au long de ces pages, au style débordant de métaphores, les enchaînements dynamiques ne manquent pas !
    Une vaste recherche historique a précédé l’écriture de ce livre. Nous sommes ramenés dans un passé pas si éloigné où les titres de noblesse, les noms attribués à l’entrée en religion, les rôles de chacun-e, les décès précoces, le dur labeur de chaque jour, les incartades, les secrets, les désirs inavouables parsemaient le quotidien.
    De « Chaussé de mocassins par-dessus ses bas de laine, il remonte les jambières de peau d’orignal sur ses jambes. Raquettes aux pieds, mitasses aux mains, pelisse de castor jetée sur la tête et les épaules, il se dirige vers le bourg pour monter jusqu’au monastère » (p.120) , Véronique Morel nous entraîne dans son récit qui nous réserve une surprise vers la fin…

  12. Sara (client confirmé)

    Bonjour Véronique, je tiens à vous féliciter pour votre dernier récit à la fois historique , à la fois humain où on retrouve des passages quelques fois plus colores que d’autres que nous remet, nous accroche et nous empêche de retourné a nos tâches quotidiennes tellement qu’est plain des surprises. Aussi je tenais à vous dire que suite au vocabulaire exquis, mais de niveaux émérites à mon humble avis cela se devrait se retrouvé dans les bibliothèques de nôtre jeunesse secondaire . Succès à vous chère Véronique!

  13. francine quesnel (client confirmé)

    Je viens de terminer la lecture de Courtepointe De Vitraux et mon impression est choc et grande émotion.
    Choc pour l’histoire de l’épouse de Jean se retrouver seule à son arrivée, j’imagine son désarroi venir de si loin et après une longue traversée.
    Grande émotion, j’ai trouvé touchant le message d’amour de Véronique à son aïeule pour son courage.
    C’est tellement bien écrit, j’avoue avoir eu besoin du dictionnaire quelques fois.
    Bravo Véronique pour ton magnifique travail xxx

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