Ste-Croix II Les chemins de l’Abitibi

Plus dévastatrice encore que la peste noire du Moyen Âge, la grippe espagnole de 1918 fit, à elle seule, plus de victimes que la première guerre mondiale. Le première tome de Ste-Croix vous a fait découvrir l’ampleur de ce fléau au Québec. Vous y avez rencontré et aimé Christiana Hébert, cette jeune femme exceptionnelle revenue dans son village natal de Ste-Croix de Lotbinière pour prendre charge des enfants de son frère Adélard dont la femme fut internée, terrible séquelle de l’épidémie meurtrière. Vous vous êtes laissé prendre par le charme de cette turbulente marmaille que les années ont transformée en de jeunes adultes attachants. Dans ce deuxième tome, vous partagerez les émois de leurs premières amours, la rencontre troublante avec une mère dont le temps a effacé le visage, leurs angoisses face à l’avenir incertain qui les attend suite à l’effondrement de la Bourse en 1929, l’appel irresistible des territoires de l’ Abitibi … terre promise des années vingt et trente.

Ce qu’en dit la critique …

Un réalisme frappant, avec les mots qu’il faut pour rendre avec justesse et authenticité cet hommage aux générations passées.
Martin Francoeur, Le Nouvelliste

C’est un peu comme si l’on avait connu cette famille tellement attachante. Voilà une histoire qu’on a envie de lire jusqu’à la dernière ligne.
Karen Villeneuve, La Frontière

J’ai savouré chaque chapitre comme je l’aurais fait des paragraphes d’une missive longuement attendue. Si la mondialisation ne vient pas à bout de cette langue, ce sera grâce à des auteurs de la trempe de Monique Boisvert.
Yves Joncas, Le Nord Est

Monique Boisvert est toujours l’habile conteuse que son premier roman nous avait appris à apprécier.
Jean-François Crépeau, Le Rlchelieu

Les dialogues respirent la force et la vérité. Il en découle une lecture agréable. Voila une raconteuse qui promet.
Réal Ouimet, La Relève

Un langage simple avec des personnages attachants et une intrigue intéressante. Tous les ingrédients d’un bon roman y sont réunis.
Louis Lavoie, Le citoyen de la Vallée de l’Or